Fiction n°63 : ILLUSION-DIES

Cette histoire qui devrait être si banale , l'histoire de la jeune fille qui déménage , ce fait des amies , rencontre l'amour , l'histoire où les mots ce noies dans la banalité sans ne jamais remonter , et si tout sa changeait ? Et si les mots changeaient si la banalité s'étouffait et que l'originalité se crée un chemin vers cette d'histoire si normale ? Toute ces histoires ou les clichés ont reniée sont terminées , mon histoire ? Et bien c'est tout simplement le mariage entre l'originalité et la banalité , mon histoire c'est la preuve que tout ces chaines ont explosée et on laissée les mots respirer pour mieux s'assembler

Après avoir lu les 5 chapitres postés sur le blog, je peux affirmer qu'il n'y a pas vraiment d'histoire concrète. Rien qui nous donne envie de continuer à lire, de vouloir savoir la suite. Ce sont seulement des suites d'événements banals. Tout comme l'histoire. Je vais citer quelques banalités récurrentes qu'on peut voir dans ce genre d'histoires : tout d'abord, le lien fraternel entre Sasori et Sakura habituel ; le déménagement du protagoniste dans une autre ville où elle ne connait personne mais elle se fait rapidement des amis qui ont le même âge qu'elle ; de plus les chapitres sont rythmés par les cours et en premier la fameuse rentrée. Il y a aussi malheureusement beaucoup de fautes d'orthographe tel que « chapitre too » (chapitre two) ; « foot-eu » (footeux) ; « guicker » (geeker) ainsi qu'un vocabulaire redondant ou bien inadapté « sa densité à trop répondre aux profs » ou encore quelques incohérences « Monte dans ta chambre et dépêche-toi de venir à table » ou encore le fait que Sakura passe une partie de ses vacances chez sa sœur (qui n'habite pas dans la même ville qu'elle) et doit aller chez son père mais croise Naruto à l'arrêt de bus et le manque flagrant de descriptions des lieux (école, maison). L'histoire en elle-même passe relativement vite ; au chapitre deux un mois est passé depuis la rentrée. Venons maintenant sur le sujet des noms dans cette fanfiction. Le surnom de Sakura ne tombe pas sous le sens. Comment sait-on au début que Sara est en réalité Sakura ? Et que c'est seulement un surnom que ses proches lui donnent. Enfin, les prénoms des personnages secondaires sont assez négligés. Si nous avons Sakura, Sasori ou bien Ino, la mère des Haruno ne doit pas s'appeler Léna et leur père Jonh et le petit ami de Karin ne doit pas se nommer Chris. Ce sont des problèmes assez réguliers mais qu'il faut tout de même pointer du doigt. En soi, je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture et j'en suis désolée pour l'auteur.