Le-journal-de-Nagisa

 

 

 

[En cours] • [3 chapitres]

 

[Sakura & Sasuke]

[Romance, School Fic et Angst]

 

 

 

 

Elle savait que ce qu'elle endurait quotidiennement était de sa faute, car elle était trop faible pour réagir, impuissante face à la noirceur qui pouvait envahir le cœur humain. Alors, chaque jour qui passait, elle se contentait de cacher aux yeux du monde sa triste réalité. Elle n'était pourtant pas seule, elle avait des amies sur qui elle pouvait compter, à qui elle pourrait se confier pour l'aider, la soutenir et la sortir de ce cercle infernal, mais le silence était devenu depuis bien longtemps son seul allié. Elle était aussi une élève intelligente et studieuse, toutefois elle n'arrivait pas à trouver la solution à ses problèmes qui la plongeaient de plus en plus dans ce fond sans fin. Sa beauté si authentique faisait d'elle une fille très désirée par le sexe opposé, mais aussi tellement envié et jalouser par la gente féminine. Alors, elle voulait leur crier qu'elle leurs laisseraient sa place avec plaisir, avouer à toutes ces filles si naïves et innocentes que le monde, si enchanté paraît-il, n'est pas toujours ce que l'on croit.

Konoha, une ville banale et tranquille.. Du moins, d'apparence. 

Je ne pensais pas rencontrée un homme, un homme faisant parti d'un dangereux gang, un gang violent.
Je ne pensais pas tomber amoureuse. Je suis du genre réservée, qui ne tombe pas facilement amoureuse, surtout du premier venu. 
Je ne pensais pas finir par rentrée dans un gang.
Je ne pensais pas subir d'affreuses souffrance, autant psychologique que physique.

Me voilà pour un petit avis... Alors que dire ? Eh bien le sujet est intéressant, le résumé était peut-être un peu trop dévoilé à mon goût m'enfin... Les actions sont claires mais peu étoffées, les personnages sont, par contre, assez intéressant. Le récit, quant à lui, manque de descriptions émotionnelles, rendant les scènes un peu trop rapides et plates. On aimerait ressentir, l'angoisse, la peur, le soulagement, etc... mais ça ne passe pas, un chouia aux travers des répliques mais ça ne suffit pas. On pourrait aussi déplorer les ratés qu'il y a sur les apostrophes, c'est tout ce que je dirais sur l'orthographe, c'est sans doute la seule chose qui m'a gêné hormis quelques petits couacs de mots mal employés ("encolure" au lieu d'"encadrure" par exemple) peu fréquent et facilement rectifiable. Ah oui et j'ai aussi eu du mal avec les phrases hurlée en majuscules, une bonne ponctuation et une description adapté suffisent généralement à éviter ce genre de procédé.

Le peu de chapitres laissent donc cette impression : du potentiel, de bonnes idées, des personnages bien exploités mais un enchaînement d'action trop précipité et pas assez de profondeur dans la narration. Des points facile à retravailler pour peu que l'on prenne son temps sur chaque passage pour les amenés aux lecteurs de la plus exact des manières.

L'amour, on ne peut le maîtriser, c'est un sentiment sur lequel nous n'avons aucune emprise. Il est comme un océan, une vague qui déferle et qui emporte tout sur son passage ne laissant derrière lui qu'un chaos sans nom dès lors qu'on essaie de s'y opposer. Un jour cela nous tombe dessus et nous n'avons pas notre mot à dire. On pourrait se le cacher au plus profond de nous, essayer de se mentir à soi même, s'évertuer, tant bien que mal, à se le refuser mais... à quoi bon ? On finirait par être balayé, submergé et au final, on pourrait s'y noyer. Il suffirait simplement d'accepter et de se laisser porter, bercer par cette houle qui vient emplir un coeur... 

Lui, est si froid toujours impassible sans une once d'émotion dans le regard. Elle, elle est si chaleureuse, si gentille, toujours pleine de vie. Ils semblent, tout deux, parfaitement se compléter de par leur opposition. Il pourrait être son yin, elle pourrait être son yang. C'est un amour impossible et pourtant, qui sait...?

➜ de XWolfy

Apparance du blog. 
L'habillage est très simple. Je n'aime pas tes couleurs mais simplement subjectif. Tu as le droit de les aimer, toi. Cependant, tu devrais baisser le corps de tes articles car ça ne fait pas très joli. Il y a quelques images que je n'aime pas mais comme elles sont rapport avec ta fiction,ce n'est pas si dérangeant. Au quatrième chapitre tu met l'image à la fin, il est mieux que tu la mettes au début. 

Prologue. 
Quelques petites fautes mais accrocheur. On sait directement que sa fiction va parler d'une histoire d'amour. Cependant on pourrait croire à une banale histoire d'amour. Si on ne lit pas les informations, on pourrait croire à une schoolfic parlant d'un populaire et d'une renfermée, par exemple.

Reste de la fiction.
Tu te sers très bien du mystère. Le mystère donne à ta fiction un certains suspens très plaisant qui peut être angoissant. Ta fiction est poignante. Tu fais de belles descriptions des lieux, des sentiments et des personnes notamment dans ton premier chapitre avec le rêve. Cependant, ne connaissant pas le manga il y a certains termes que tu utilises que je ne comprends pas comme « les murs de Las Noches. » ou encore « Hueco Mundo ». Donc il y a certaines petites choses que je n'ai pas pu comprendre. Dans ton deuxième chapitre, tu parles des amis de la rousse, j'aurais aimé avoir leur point de vue également mais ne pas le faire est ton choix. N'ayant pas le point de vue des amis, nous avons tout de même le point de vue d'ulquiorra et nous sentons toute la tristesse qui émane de lui. 
Il y juste une petite chose que je trouve un peu incohérente. Tu dis que sa pièce est très sombre, que leur monde est très sombre mais l'intérieur de leur bâtiment est... tout blanc ? De plus dans le troisième chapitres lorsque Ulquiorra l'emmène chez le savant et qu'elle rencontre un autre arrancars, ce dernier est un être répugnant. Or, dans un dialogue, il dit le mot posséder, un mot plus cru aurait été plus adapté. J'ai remarqué quelques petites fautes mais elles ne sont vraiment pas fréquentes. Tu en fais surtout avec les adjectifs comme « une ceinture de couleur bleu » au lieu « une ceinture de couleur bleue ». J'ai remarqué quelques répétitions qui n'ont pas lieu d'être au fur et à mesure des chapitres. Chacun de tes chapitres finissent par du suspense ce qui pousse le lecteur a vouloir savoir ce qu'il se passe par la suite et c'est un bon point. 

Conseils : 
• Fais attention à tes petites fautes.
• Fais attention aux répétitions. 
• Fais attention aux mots que tu utilises.

 

 

 

[En cours] • [1 chapitre]

 

[Itachi, Deidara et Sasori] • [Romance et Drame]

 

 

 

 

Je cours comme un dératé. Je suis piégé, fait comme un rat. Je regrette d'avoir quitté le cocon familial. Malgré les coups que me donnaient mon père, malgré les engueulades perpétuelles avec ma mère, malgré les mesquineries de mon frère. Ce village pourri me manque. Quelle ironie.

Je cours, je ne sais pas ce qu'ils me veulent.

- Ne le laisse pas partir Shunsui !

Le dénommé Shunsui me rattrape. Il m'agrippe et me plaque contre le sol. Aïe. Je crois que mes mains sont éraflées. Vous savez comment je le sais ? Je sens ce petit picotement, qui fait frémir tous mes sens et qui me rappelle que je suis piégé, sous le poids d'un homme que je ne connais pas.

- Lâche-moi !

Il rigole, le porc. Il me relève, sans douceur et me dit bonne nuit. Je ne comprends pas.

Je me réveille dans une camionnette. Je ne suis pas seul, j'ai les yeux bandés, mais je le sais. Il y a quelqu'un qui a sa tête sur mon épaule. Ça sent la transpiration, odeur que je déteste par-dessus tout. Ou-suis je ?

Ils nous font rentrer dans un bâtiment. Je ne sais pas où c'est, mes yeux sont toujours couverts. Merde. Ils nous les enlèvent et nous font asseoir. J'ai l'impression d'être une bête de foire. Non ! Je ne veux pas devenir ce que je méprise. Je me jette tant bien que mal dans un coin de la pièce. L'un des hommes commence à me secouer pour que je me rassois, je ne compte pas céder.

- Arrête, tu sais qu'on ne doit pas les abîmés ! Le boss ne va pas être content.

Il s'arrête. Deux hommes arrivent dans la pièce. Je sais que c'est eux qui m'ont fait venir ici. Je le sens au plus profond de moi. Le roux fait entrer les femmes dans une autre pièce. Femmes/filles ? Ça n'a plus d'importance. Le brun se place devant nous. Il me regarde, moi qui suis recroquevillé dans mon coin. Putain, je le déteste, lui et son regard. Il a l'air tellement supérieur alors qu'il n'est pas vraiment plus grand que moi ... Mais je le sais déjà, je le déteste.